- Donald Duck
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Le saviez-vous ? D'après le court métrage Donald à l'armée sorti en 1942, les dimensions de Donald Duck sont de 18,5 centimètres de tour de tête, 25,25 centimètres de tour de poitrine et de 29,02 centimètres de longueur de bras. |
« | Ce que je ferais de ma part du trésor ? Ah. Je mène une vie simple, mais l'argent paiera les études de mes trois neveux qui vivent avec moi. | » |
— Donald Duck, montrant son bon cœur.
« | Donald pouvait être n'importe quoi. Il avait toutes les émotions qu'un humain pouvait avoir. Il pouvait être mignon, malicieux, passer du chaud au froid à tout moment. Vous pouviez le tuer à moitié et il revenait à la charge tout de suite. | » |
— Jack Hannah, considéré comme « l'Autre Papa de Donald » après Carl Barks.
Donald Fauntleroy Duck[1], appelé communément Donald Duck et surnommé « onc' Donald » ou parfois oncle Donald par ses neveux[2], est un canard anthropomorphe commun à son univers éponyme et à celui de Mickey Mouse.
Historique
Donald Duck est la caricature de l'américain moyen, vivant à Donaldville, au Calisota. Malchanceux et colérique, il vit de nombreuses aventures avec son oncle Balthazar Picsou et ses neveux Riri, Fifi et Loulou Duck à travers le monde, alternant ainsi avec ses mésaventures quotidiennes dans la ville des canards.
Son numéro de sécurité sociale est le 237851469832[3].
Biographie
Une enfance mouvementée
Donald Fauntleroy Duck naquit le 9 juin[4] 1920 de Rodolphe Duck et Hortense Picsou. Il avait une sœur jumelle, Della Duck. Le petit Donald tenait son prénom de son père, car sa mère détestait « Donald » [5] !
Il vivait avec ses parents et sa sœur chez sa grand-mère, Elvire Écoutum. Dès son plus jeune âge, il était facilement irritable : il s’énervait tout le temps pour un rien, y compris avec les animaux… Sa grand-mère décida donc de l’emmener à Donaldville, mais, durant le trajet en voiture, il perdit son bonnet mais ne s'énerva pas, ce qui fut une première ! En arrivant à Donaldville, il fut étonnamment impressionné par une statue d’un marin, portant une vareuse et un béret.
Après avoir eu un procès pour tapage sur la voie publique pour s'être énervé contre la statue après en être tombé, le petit Donald Duck insista pour monter sur un bateau. Sa grand-mère accepta, mais Donald s’empara alors du béret d’un marin, ce qui énerva ce denier, qui le reprit des mains du nourrisson. Il se tapa alors la tête contre le sol du bateau, et le capitaine du navire se rendit compte que la cale était pleine d’eau, et que Donald leur a évité un naufrage. Finalement, le petit caneton put avoir le béret du marin, qu’il portait toujours depuis[6].
Durant son enfance, il était ami avec Mickey Mouse et Dingo. Un jour, ils se disputèrent car Donald voulait construire un radeau avec des planches de bois, tandis que Mickey et Dingo préféraient construire une cabane. Mais Donald insista et construisit son radeau, et alla ainsi sur l’eau avec Pluto, le chien de Mickey : mais il fila vers la chute d’eau et son radeau finit par tomber sur un arbre, comme une cabane[6] ! Mais Donald détestait déjà son chanceux cousin, Gontran Bonheur. Le jour de l’anniversaire de Gontran, ils jouaient ensemble quand Donald décida de suspendre Gontran sur la grange afin de le bombarder d’œufs pourris. Mais la foudre frappa la grange, et les deux canetons furent électrisés et depuis ce jour, Gontran perdait sa chance légendaire chaque fois le jour de son anniversaire[7].
La jeunesse d’un canard
En 1930, Donald, alors âgé de dix ans, rencontre pour la première fois son oncle Balthazar Picsou, l’homme le plus riche du monde. Mais, à cause du mauvais accueil que le milliardaire réserve à ses sœurs, qu’il n’a pas revu depuis vingt ans, Donald donne un énorme coup de pied à son oncle pour se venger. Après cet événement, sa mère Hortense et sa tante Matilda, dégoûtées par le caractère de leur frère, décident de couper les ponts avec lui en quittant Donaldville. C'est à cette époque que Donald est élevé à la ferme de Grand-mère Donald, aux côtés de ses grands-parents Joseph et Elvire[8].
Par la suite, Donald tente d’entrer chez les Castors Juniors, une organisation de scoutisme fondée par son arrière-grand-père Clinton Écoutum. Se voyant refusé à cause de ses incontrôlables crises de colère[9], le jeune garçon est finalement accepté chez les Petits Chasseurs de Trophées, dont il est très fier de faire parti.
Quelques années plus tard, Donald entre au lycée. Élève loin d'être exemplaire, il passe son temps à faire des jeux infantiles, comme entasser le plus de monde dans une corbeille à papier... Tout bascule lorsqu'il rencontre la belle Daisy Duck, dont il tombe immédiatement amoureux. Mais une compétition a lieu, puisque son cousin Gontran est également intéressé par l'adolescente… Un jour, Daisy obtient deux places pour le bal de fin d’année. Alors qu'elle hésite entre prendre comme Donald ou Gontran en partenaire, le premier décide de faire du sport pour pouvoir l'impressionner. Mais ni la lutte, ni le football américain, ne lui réussissent… Résolu à trouver une autre tactique pour séduire sa belle, le canard se procure une petite voiture, la 113. Mais elle ne réussit toujours pas à départager ses deux prétendants... Soudain, tandis que le chanteur Frank Fausset passe par là, Daisy déclare que le premier rapportant son autographe ira au bal avec elle. Grand gagnant : Donald ! Malgré cela, Daisy se retrouve quelque peu déçue, en constatant que Donald s'adonne désormais à un nouveau sport... le remplissage de tuba[6] !
En 1934, à l'âge de quatorze ans, en quête d'autonomie, Donald quitta la ferme de ses grands-parents afin de partir vivre à Fermeville, un lieu dans lequel celui-ci n'est pas dépaysé, puisque ce village se situe également au beau milieu de la campagne. Il a pour voisins le cochon Peter Pig, président du Club des Faignants rigolos, dont Donald fut le vice-président, ainsi qu'une Mère Poule qui y vivait également avec ses dix rejetons[10]. Donald vivait alors dans ce petit village pendant une durée indéterminée avant de partir pour la première fois en milieu urbain à Donaldville.
En 1938, Donald décida de vendre sa petite voiture 113, dans le but construire lui-même une voiture, immatriculée 313, à partir de différentes pièces détachées… À la suite de ce fait marquant, il quitta Donaldville pour emménager à Hollywood, à Los Angeles, en Californie.
Donald durant la guerre
En 1941, les États-Unis déclarent la guerre à l’Allemagne nazie, à l’Italie fasciste et au Japon impérial : ils entrent ainsi dans la Seconde Guerre mondiale. Dès 1942, Donald reçut son avis d’incorporation et se vit engagé en tant que soldat, en étant formé par le sergent Pat Hibulaire. La même année, il fut à la fois parachutiste et camoufleur au sein de l’armée américaine. À partir de 1943, Donald participa à différentes missions militaires, qui ne s’achevaient pas toujours sur une victoire. Mais sa personnalité fut rapidement tiraillée entre deux côtés : un côté flemmard et dépensier, et un côté patriote et économe. Mais il se rendit compte que la première personnalité était digne des nazis, et que la seconde était digne d’un patriote américain, et il adopta ainsi cette personnalité. Mais le pauvre Donald fit même des cauchemars où il rêvait de vivre dans l’Allemagne d'Hitler, mais le canard ne se décourageait pas et continua à servir l’Amérique jusqu'à la fin de la guerre[11].
Cependant, même durant cette période de conflit, Donald réussit à voyager plusieurs fois en Amérique latine. En 1942, Donald Duck va une première fois en Amérique latine, où il visita notamment le Pérou et le Brésil, où il rencontra son vieil ami le perroquet brésilien José Carioca[12]. Deux ans plus tard, en 1944, il se fit offrir lors de son anniversaire un deuxième voyage en Amérique latine, sous le prétexte de pouvoir visiter les pays qu’ils n’avaient pas pu voir lors de son premier voyage, et il rencontra le coq mexicain Panchito Pistoles. Donald, José et Panchito formèrent alors les Les Trois Caballeros[13].
L’arrivée de Riri, Fifi et Loulou
Un jour, probablement vers la fin de la guerre, Della Duck envoya une lettre à son frère Donald. Elle apprenait à son frère que Riri, Fifi et Loulou Duck, ses enfants, avaient fait une mauvaise blague à leur père en plaçant un pétard sous son fauteuil, si bien qu’il eut fini à l’hôpital[14]… Donald rencontra alors ses neveux, des petites teignes enchaînant les mauvaises farces… Le canard en eut vraiment marre au bout de quelques jours, et renvoya les enfants chez leur mère[15].
Mais, un peu plus tard, ils revinrent chez leur oncle, puis ne le quittèrent plus jamais ! En effet, leur mère, Della, n’est jamais revenue les chercher, si bien qu’ils finirent par vivre chez leur oncle à Hollywood comme si ce dernier les avait adopté. Les canetons commencèrent à vivre quelques aventures avec leur oncle : par exemple, ils partirent à la recherche du trésor du pirate Henry Morgan avec le perroquet Bec Jaune[16], ou ils allèrent en Égypte retrouver Riri s’étant fait enlevé par une mystérieuse momie à cause d’un étrange anneau...[17]
Vers 1944, après avoir adopté ses neveux, Donald décida de quitter Hollywood avec ses neveux afin de revenir vivre dans sa ville natale, Donaldville. Il revit ainsi son amour de jeunesse, Daisy, qui était devenu un temps sa voisine, ou des personnes qu’il n’aurait préféré pas revoir, comme son cousin Gontran.
Rencontre avec son oncle Picsou
En 1947, quelques jours avant Noël, Donald reçut une invitation de son mystérieux oncle Balthazar Picsou, qu’il n’avait pas revu depuis dix-sept ans, qui l’invitait à passer Noël avec ses neveux dans son superbe chalet sur le Mont Ours. Donald accepta, et le lendemain, ils étaient déjà en train de se réjouir en voyant le beau chalet ! Mais le vieux milliardaire avait une idée démoniaque : il voulait tester le courage de son neveu en revêtant une peau d’ours la veille de Noël. Mais grâce à un étrange concours de circonstance, Picsou fut surpris de voir ses petits-neveux Riri, Fifi et Loulou poursuivre un ourson, mais encore plus surpris de voir que Donald dormait dans les bras d’un grizzli (alors qu’il s’était tout simplement évanoui).[18]
Ainsi, le lendemain, soit le jour de Noël, Picsou invita ses neveux dans son manoir dont il n’était pas sorti depuis dix ans. Riri, Fifi et Loulou rencontrèrent pour la première fois leur grand-oncle, tandis que Donald le revit pour la deuxième fois de sa vie, la première fois étant en 1930. Picsou leur montra son dépôt où il entreposait tout son argent, mais les terribles Rapetou, vieux ennemis de Picsou, projetèrent de le voler. Alors, le vieux milliardaire et ses neveux poursuivirent les bandits à travers Donald, ce qui redonna la joie de vivre et le goût de l’aventure à Picsou. Finalement, Donald et ses neveux passèrent une excellent Noël chez leur oncle[19].
Un canard en quête d’aventures
En 1948, Picsou rappela son neveu afin de l’aider pour une mystérieuse affaire. Donald alla donc avec son oncle et ses neveux en Écosse où ils durent affronter un terrible fantôme alors qu’ils étaient à la recherche du trésor de Sir Duncan McPicsou. Depuis ce jour-là, Picsou sut qu'il pouvait faire confiance à son neveu quand il s'agissait de partir à l'aventure à travers le monde. En 1949, Donald et ses neveux partirent dans les Andes, à la recherche de la cité mythique de Sétatroce où vivent les poules carrées. Puis, dans les années 1950, il partit de plus en plus souvent à l'étranger pour le compte de son oncle. Il commença à partir seul ou avec ses neveux, comme pour trouver la légendaire licorne dans l'Himalaya. Mais rapidement, Balthazar Picsou rejoignit Donald et ses neveux pour vivre ces fabuleuses aventures.
En 1951, Donald fit entrer ses neveux chez les Castors Juniors, une organisation de scoutisme. En effet, le canard prend très au sérieux sa mission d'oncle, et décida de prendre en charge l'éducation de ses neveux qui étaient de véritables terreurs quand ils étaient arrivés pour la première fois chez leur oncle. Grâce aux Castors Juniors, ils s'assagirent pour devenir des canards modèles, calmes et intelligents, ce qui fit la fierté de leur oncle.
Durant Noël 1951, Picsou perdit tout son argent dans une caverne sous son coffre. Le milliardaire cherchait désespérément un moyen de récupérer son argent, quand Donald eut l'idée de proposer à Géo Trouvetou, un jeune inventeur ayant repris le magasin de son père, de trouver enfin une solution à ce cataclysme. Géo, bricoleur, eut de grandes idées et réussit à les mettre en place, et au final, il réussit à sauver la fortune de Picsou. Donald ne croyait pas vraiment en ce nouvel inventeur, qu'il estimait un peu désordonné, et il s'inquiéta quand il vit Riri, Fifi et Loulou devenir ses assistants ! Géo, qu'il qualifiait de fou, eut l'idée de boîtes pour faire penser les animaux. Donald, voulant tout faire échouer pour apprendre la "vraie vie" à ses neveux, se retrouva cependant confronté à un loup pensant, qui était passé entre les boîtes, et fut sauvé par Géo Trouvetou qui réussit à inverser son invention pour rendre le loup normal. Donald changea alors de point de vue sur l'inventeur, qui devint un de ses meilleurs amis.
Donald et ses neveux se retrouvèrent finalement à vivre de grandes aventures en accompagnant leur oncle Picsou, et les canards parcourent chaque continent à la recherche de trésors légendaires, comme la toison d'or, le trésor des Templiers ou la pierre philosophale ; ils affrontèrent des créatures mythiques, comme les Harpies, le dragon insomniaque ou les homme-poissons de l'Atlantide ; ils affrontèrent également les Rapetou, grands ennemis de Picsou, mais eurent à combattre de nouveaux antagonistes, comme la redoutable sorcière italienne Miss Tick De Sortilège ou les deux milliardaires rivaux de Picsou, Archibald Gripsou et John Flairsou. Donald se retrouva ainsi constamment en train de parcourir le monde, et quand il ne travaille pas pour son oncle pour un faible salaire, il enchaîne de nombreux petits travaux qui ne durent guère longtemps, en raison de l'incompétence notable du canard dans de nombreux domaines.
Description physique
Donald Duck est un canard anthropomorphe de petite taille (environ quatre-vingts-dix centimètres), qui n'a pas de cheveux si l'on excepte des plumes blanches. Ses yeux sont grands, il des pupilles noires de forme ovale, mais pas d'iris. Il porte de manière quasi-permanente un béret et une vareuse marins; il n'a ni culotte ni pantalon, sans doute parce que ses plumes lui procurent déjà une protection suffisante.
Personnalité
Donald Duck est très irritable, trait de caractère qu'il a hérité de ses parents : il se met en effet facilement en colère, si quelque chose ne va pas comme il veut ou si quelqu'un fait quelque chose qu'il ne lui plaît pas. Il s'énerve souvent contre ses neveux lorsque ceux-ci font des bêtises, et les pourchasse à coup de bâton ou de battoir à tapis à travers la maison jusqu'à ce qu'ils se pardonnent et fassent la vaisselle pendant une semaine. Une simple situation peut l'énerver, comme son cousin Gontran arrivant chez lui pour se vanter ou ses neveux élevant toute sorte d'animaux chez lui.
Le canard n'a aucun sens des affaires, ce qui désespère littéralement son riche oncle Picsou. Lorsqu'il gagne quelques dollars, il va directement s'acheter un soda à la glace, sans penser à économiser son argent. Pour pouvoir vivre confortablement, il s'endette donc auprès de son oncle, mais oublie souvent sa dette, qui finit par devenir très importante avec les intérêts. Picsou a tenté plusieurs fois d'apprendre à son neveu comment gérer sa fortune, puisque c'est lui qui doit normalement hériter du milliardaire, mais ça s'est toujours conclu par un échec : par exemple, Donald dut gérer la fortune de Picsou pendant une semaine mais l'a dilapidée en endettant toute la ville, car Donald a un bon cœur et ne peut pas voir son oncle demander de l'argent à des pauvres gens ruinés...
Généralement, Donald est paresseux et préférerait passer son après-midi dans son hamac que de parcourir le monde avec son oncle, mais il est payé pour ça 30 cents de l'heure. Il est très froussard, comme son vieil oncle Picsou, et les deux doivent compter à chaque fois sur Riri, Fifi et Loulou, très débrouillards, pour les sortir de situations compliquées. Mais Donald peut être également très courageux quand il s'agit de sauver sa famille : par exemple, il peut tout faire pour aider ses neveux, même s'il ne gagne rien en échange, ou il a même sauvé plusieurs fois son oncle Picsou quand il est menacé par des hommes plutôt malhonnête...
Donald est assez jaloux, surtout quand il voit Gontran Bonheur séduire Daisy, qui est pourtant sa fiancée. Il peut être très vantard, déclarant à ses neveux qu'il a fait des choses grandioses dans sa jeunesse (comme champion de ski, etc...) mais que la réalité est tout à fait opposée à ce qu'il dit. Il peut être naïf, se faisant avoir très facilement, comme il peut être très intelligent et deviner des mauvais coups de la part de ses ennemis. Il peut être également moqueur envers les autres comme il peut être respectueux... Bref, Donald a toutes les qualités et tous les défauts qu'un être humain peut avoir.
Famille
Donald Duck est le fils de Hortense Picsou et Rodolphe Duck, et le frère de Della Duck. Il est le neveu de Balthazar Picsou et de Matilda Picsou, ainsi que de Daphné Duck et de Barnabé Duck. Il est le petit-fils d'Elvire Écoutum et de Joseph Duck du côté de son père, et d'Edith O'Drake et de Fergus McPicsou du côté de sa mère. Il est l'oncle de Riri, Fifi et Loulou Duck, et le cousin de Gontran Bonheur, Abner Duck, Popop Duck et Gus Glouton. Il est le descendant de Cornélius Écoutum, le fondateur de Donaldville, de Mathurin Duck, un marin anglais du XVIe siècle, et du puissant clan McPicsou, dont les racines sont en Écosse. Enfin, il est fiancé à Daisy Duck, qui est également la belle-sœur de Della Duck, la sœur de Donald et la mère de Riri, Fifi et Loulou.
Voiture
- Article principal : Voiture 313
La voiture de Donald est une petite voiture rouge qu'il a fabriqué lui-même en 1938 et qui est immatriculée 313. Elle fut conçue avec des matériaux usagés, soit un moteur Mixwell 1920, un châssis Dudge 1922, des essieux Paclac 1923 et des roues de tondeuse à gazon[20]. Elle tombe très souvent en panne, ce qui énerve ceux qui montent avec Donald dans sa voiture. Elle fut à l'origine conçue pour avoir deux places, mais à la suite de l'arrivée de Riri, Fifi et Loulou chez Donald, le coffre devint convertible en trois autres places.
Maison
- Article principal : Maison de Donald Duck
La maison de Donald est située au 13 rue Couac, à Donaldville, et le canard y vit avec ses neveux. Elle appartient à Picsou, et Donald la loue depuis son retour à Donaldville après avoir quitté Hollywood, soit vers la fin de la guerre. Il s'agit d"une maison américaine typique, avec des murs en bois : elle a un rez-de-chaussée (avec une cuisine, un salon et une salle à manger), un étage (avec les chambres) et un grenier. Dehors, il y a un garage pour la 313 et une niche pour Bolivar. La maison est voisine de celle de Lagrogne, un voisin s'entendant très mal avec Donald.
En coulisses
Histoire
Les débuts (1934 - 1936)
Au début des années 1930, Walt Disney cherchait un personnage qui pourrait accompagner Mickey Mouse, sa souris vedette, dans ses aventures. Un jour, il rencontra Clarence Nash, qui tenait un stand en se promenant dans les villes, et en vendant du lait aux enfants tout en imitant des animaux en guise de spectacle. Disney fit passer une audition à Nash, et, après l'avoir entendu imiter un chevreau dans une émission de radio, il fut convaincu que Nash serait la voix du nouveau personnage qui accompagnerait Mickey, un canard parlant !
En 1934, un nouveau court métrage des studios Disney sortit, Une petite poule avisée, dans la série des Silly Symphonies. Les spectateurs y découvrirent un nouveau personnage, Donald Duck, un canard parlant et paresseux, habillé en marin (car le canard fait penser à l'eau, et donc à la marine) et qu'une mère Poule tente désespérément de faire travailler. Ce court métrage introduisit donc ce fameux nouveau personnage, qui fut développé, entre autres, par l'animateur Dick Lundy.
Donald fit rapidement ses débuts en bande dessinée, dans la version papier d' Une petite poule avisée, dessinée par Ted Osborne et Al Taliaferro, et publiée dans les planches dominicales entre le 16 septembre et le 16 décembre 1934. En 1935, une bande dessinée de quatorze planches avec pour héros Donald Duck est publiée par la Whitman Publishing Company. Puis, Al Taliaferro commença à dessiner des comics strips de Donald dans les journaux, tandis que Ted Osborne et Floyd Gottfredson inclurent le canard dans les histories dominicales de Mickey Mouse.
L'accès à la gloire (1936 - 1941)
Alors qu'en bande dessinée, il dominait la production des strips des Silly Symphonies entre le 30 août 1936 et le 12 décembre 1937, scénarisés par Ted Osborne et dessinés par Al Taliaferro, il fut envisagé de faire de Donald un personnage indépendant des Silly Symphonies, en raison de l'importance qu'il pris en quelques mois. Cependant, en animation, cette dissociation intervint plus tôt : le 12 septembre 1936, Donald obtient le premier rôle dans un court métrage, aux côtés de Pluto, mais sans la présence de Mickey Mouse. C'est donc le début de sa carrière solo au cinéma.
Le 9 janvier 1937, Donald eut droit à sa propre série, qui débuta par le court métrage Don Donald. Donald participait également aux courts-métrages de Mickey et Dingo. Cette même année, chaque animateur se spécialisa en rejoignant des équipes ne travaillant que sur un personnage : cette méthode de travail était plus économique et permettait d'obtenir une meilleure qualité graphique pour les personnages. Ainsi, Donald fut confié à Jack Hannah et Jack King. Entre 1937 et 1947, la plupart des court métrages de Donald Duck furent ainsi scénarisés par Jack Hannah et Carl Barks, tandis qu'ils étaient réalisés par Jack King. L'apparence de Donald changea également, en devenant plus ronde.
À partir du 7 février 1937, Donald eut sa son propre strip au sein d'un journal quotidien. Ces histoires étaient scénarisées par Bob Karp et dessinées par Al Taliaferro. Dans ces histoires, Donald devint citadin, et se dota d'un entourage propre : le 17 octobre 1937, apparurent ses neveux, Riri, Fifi et Loulou Duck, dans le gag Donald, Riri, Fifi et Loulou. La famille de Donald se développa encore, avec l'apparition de Gus Glouton, en 1939 ; celle de Daisy Duck, qui deviendra sa fiancée « attitrée », comme Minnie Mouse est pour Mickey, en 1940 ; puis, la même année, celle de Grand-mère Donald, de son véritable nom Elvire Écoutum, qui ne deviendra un personnage à part entière qu'en 1943.
Parallèlement, à partir de 1937, en Italie, commencèrent les longues séries d'aventures de Donald. La première s'intitule Paolino Paperino e il Mistero di Marte, est écrite par Federicco Pedrocchi, et est publiée entre le 30 décembre 1937 et le 28 avril 1938. Cependant, aux États-Unis, il faudra attendre encore quelques années avant d'avoir de longues histoires d'aventures de Donald.
Donald, personnalité militaire (1941 - 1945)
Durant la Seconde Guerre mondiale, le public cherchait des personnages plus volontaires, plus patriotes, participant à l'effort de guerre. Walt Disney ne voulant pas que Mickey Mouse ne devienne un personnage de propagande, ce sera donc le cas de Donald. Mais cela ne fera que renforcer la popularité du personnage, comme Bugs Bunny.
Entre 1942 et 1947, la production de courts métrages mettant en scène Mickey est stoppée, tandis que celle de Donald explose. Sa première confrontation avec la guerre a lieue dans Donald bénévole, en septembre 1940, où il est un des bénévoles d'une œuvre caritative soutenant les soldats. Dans The New Spirit, en 1942, on montre Donald sollicité à payer ses impôts, et les conséquences s'il ne les paient pas à temps. Le 1er mai 1942, Donald reçoit son avis d'incorporation et est engagé dans l'armée sous les ordres du sergent Pat Hibulaire, dans Donald à l'armée. En 1943, Der Fuehrer's Face reçoit l'Oscar du meilleur court-métrage : on y voit Donald vivre en Allemagne nazie. Dans The Spirit of '43, Donald est tiraillé entre deux personnalités : le zazou, dépensier, et l'économe, contribuant à l'effort de guerre en payant ses impôts. Le dernier dessin animé de Donald en lien avec la guerre est Commando Duck, daté de 1944.
Mais Donald sera également un "ambassadeur" durant la guerre, un américain moyen visitant les pays d'Amérique latine. Deux longs métrages seront produits : Saludos Amigos, en 1942, et Les Trois Caballeros, en 1945, mettant en scène les aventures des Trois Caballeros, un groupe d'amis composé de Donald, José Carioca et Panchito Pistoles. Ces deux longs métrages sont en réalité des compilations de plusieurs courts métrages.
Un canard devenu iconique (1945 - 1967)
Après la Seconde Guerre mondiale, l'univers de Donald Duck se développa et de nombreux nouveaux personnages apparurent, comme Balthazar Picsou, l'oncle richissime de Donald, apparu dans l'histoire de Carl Barks Noël sur le mont Ours, en 1947 ; ou Gontran Bonheur, le cousin veinard de Donald, apparu également dans une histoire de Barks, Les deux vantards, en 1948. Dans les années 1950, alors que Donald devenait un personnage important des comics books américain, grâce à l'implication de Carl Barks, la production de ses courts-métrages ralentit fortement durant ces années-là, avant de s'arrêter complètement... Cependant, Donald devint un personnage iconique aux États-Unis durant l'âge d'or des comics : en effet, en 1953, les numéros de Walt Disney's Comics and Stories, qui contenaient chacun une histoire de Donald de dix pages dessinée par Barks, étaient tirés à plus de trois millions d'exemplaires en Amérique, ce qui constitue un record qui n'a jamais été battu !
Parallèlement, en Europe, le personnage de Donald se développa également : en effet, de nombreux magazines dédiés au canard commencèrent à être publiés dans différents pays, notamment par les éditeurs Gutenberghus et Mondadori. On peut noter que de nombreux scénaristes et dessinateurs italiens, devenus désormais cultes, commencèrent chez Mondadori, tel Romano Scarpa, Guido Martina, Luciano Bottaro, Giovan Battista Carpi, etc... De plus en plus de bandes dessinées vinrent ainsi d'Europe, tandis qu'en Amérique, les bandes dessinées mettant en scène des aventures avec Picsou, Donald et Riri, Fifi et Loulou (dessinées la plupart par Carl Barks) devinrent les principales publications mettant en scène l'univers des canards à partir du milieu des années 1950.
Malgré la disparition progressive des courts-métrages de Donald Duck, dont le tout-dernier sortit en 1961, The Litterbug, le canard apparut dans un moyen-métrage, Donald au pays des mathémagiques, en 1959. Ce dessin animé préfigurera l'apparition de Ludwig Von Drake dans la série télévisée des années 1960, Ludwig Von Drake's adventure in color. Malgré la disparition des dessins animés qui faisait la gloire de Donald dans les années 1930, le personnage connut sa principale période de gloire aux États-Unis dans les années 1950 : il était devenu très populaire chez les Américains, et sa popularité pouvait même dépasser celle de Mickey Mouse ! En 1958, Donald eut même le privilège d'être un des maîtres de cérémonie de la 30e cérémonie des Oscars (il présentait la cérémonie par un film diffusé pendant celle-ci). Cependant, cette période de gloire en Amérique prit fin en 1967, quand Carl Barks, l'auteur majeur des bandes dessinées de Donald et de Picsou qui connaissaient tant de succès, prit sa retraite...
Une popularité mondiale (1967 - 1984)
À la suite du départ en retraite de Barks en 1967, la production de bandes dessinées américaines de Donald Duck s'estompa rapidement pour laisser place aux bandes dessinées européennes. Aux États-Unis, les comics mettant en scène les canards disparurent progressivement des kiosques, face aux succès des comics de super-héros, tandis que l'école italienne, avec l'éditeur Mondadori, devint très importante : de nombreux auteurs italiens, tels Romano Scarpa, Guido Martina, Giovan Battista Carpi, Giorgio Cavazzano, Massimo De Vita, Luciano Bottaro, apportèrent leur touche à l'univers des canards. Ainsi, en 1969, Martina et Carpi créèrent le personnage de Fantomiald, soit l'identité secrète de super-héros de Donald, dans Le vengeur diabolique ! : cet alter-ego changera considérablement la personnalité du canard.
Dans les années 1970, le personnage de Donald se modernisa en Europe : ainsi, Giorgio Cavazzano adopta un look "techno" pour son Donald ce qui lui donna un côté nettement plus moderne. Dans les pays du nord de l'Europe, les bandes dessinées étaient publiées par l'éditeur Gutenberghus/Egmont. Là-bas, les communautés de fans de Barks se développaient, et de nombreux auteurs prirent ainsi modèle sur l'homme des canards : Daan Jippes, Freddy Milton, ou encore le chilien Vicar s'en inspirèrent pour créer des histoires mettant en scène le quotidien de Donald, tandis que l'école italienne privilégiait, elle, les grandes aventures et les parodies de grands classiques de la littérature.
Le renouveau (1984 - 2006)
L'année 1984 marqua les cinquante ans de Donald, et à cette occasion, un avion nommé Duck One sillona les États-Unis avec à son bord Clarence Nash, l'éternelle voix du canard, et... Donald lui-même ! Les deux acolytes rencontrèrent même Ronald Reagan, qui était alors le président américain, à la Maison-Blanche ! Le 21 mai 1984, Donald laisse ses empreintes de pas sur le ciment, aux côtés du nom Clarence Nash, devant le Grauman's Chinese Theatre, à Los Angeles. Ces nombreux événements donnèrent un regain d'intérêt des Américains envers le personnage de Donald Duck. En 1985, Clarence Nash mourut, et c'est Tony Anselmo qui le remplaça pour faire la voix si caractéristique de Donald.
La même année, Gladstone Publishing commença à publier des bandes dessinées Disney. Ils embauchèrent de nouveaux auteurs, tels William Van Horn ou en particulier Don Rosa, qui publiera sa première histoire, Le Fils du Soleil, en 1987. Les bandes dessinées de Donald Duck reprirent alors le succès qu'elles avaient dans les années 1950 aux États-Unis... Don Rosa concentra la majorité de son œuvre sur le personnage de Picsou, mais il ne manqua pas d'inclure Donald dans ses histoires. En 1987, également, La Bande à Picsou apparut sur les écrans américains, mais se concentra en majorité sur les personnages de Picsou et de Riri, Fifi et Loulou, Donald n'apparaissant que très rarement dans la série...
En Europe, les histoires de Donald avaient autant de succès. En Italie, le personnage se modernisa encore, notamment avec la création d'une nouvelle identité secrète de super-héros, Powerduck, en 2002, soit une version plus sombre du personnage de Fantomiald. On peut remarquer que de nouveaux dessinateurs européens commencèrent à connaître du succès en dessinant les bandes dessinées de Donald Duck, notamment Lars Jensen, Flemming Andersen, Casty, Ben Verhagen, Mau Heymans...
En 2004, Donald est récompensé par une étoile sur le Walk of Fame, à Hollywood, en raison de sa popularité américaine de retour. Dans les années 2000, Donald fit son apparition dans de nombreux jeux vidéos, tels Couak Attack, entre autres... En 2006, Don Rosa publia sa dernière histoire, La Prisonnière de la vallée de l'Agonie Blanche, et dut mettre fin à sa carrière pour des raisons de santé : il a tout de même une touche importante à l'univers de Donald Duck, ce qui le fit devenir un auteur prisé des fans, "l'héritier de Carl Barks".
Le Donald moderne (depuis 2006)
De nos jours, Donald est toujours aussi populaire, en particulier en Europe, malgré un léger déclin aux États-Unis. Les bandes dessinées du canard se passent désormais dans le monde moderne, avec des ordinateurs, des smartphones, etc... Donald fit son apparition dans quelques séries animées, comme La Maison de Mickey, dédiée à un très jeune public, ou encore plus récemment, dans le remake de La Bande à Picsou, où Donald joue un rôle bien plus important que dans la série originale de 1987. Les communautés de fans de Donald, les "donaldistes", se développèrent beaucoup récemment, en particulier dans les pays du nord de l'Europe, mais aussi en Italie ou en France. Les éditeurs de bandes dessinées de différents pays publièrent donc les intégrales des histoires de Carl Barks et de Don Rosa (on peut citer notamment La Dynastie Donald Duck et La Grande épopée de Picsou en France ; la Carl Barks Library et la Don Rosa Library aux États-Unis...). Donald est donc toujours aussi populaire aujourd'hui dans le monde entier.
Filmographie
- Article principal : Filmographie de Donald Duck
Donald est apparu dans plus de cent soixante courts métrages, dont cent vingt-huit de sa propre série.
Doublages
Donald a été doublé aux États-Unis par Clarence Nash, de 1934 à 1985, et Tony Anselmo, de 1985 à nos jours. En France, Michel Elias a doublé Donald Duck dans la première version de La Bande à Picsou, puis Sylvain Caruso a repris le relais, dans de nombreux dessins animés, comme Couacs en vrac ou La Maison de Mickey.
Hors-canon
Dans le futur
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Dans l'histoire Où est passé Picsou ?, de Maximino Tortajada Aguilar et Lars Jensen, publiée pour la première fois le 5 juin 2006, on nous montre le futur de Donaldville et, entre autre, l'avenir de la famille Duck. Alors que son oncle Picsou a quitté Donaldville, Donald et Miss Frappe sont devenus les gestionnaires de l'empire Picsou. Un escroc, Arnach McChicane, se fait passer pour un lointain parent de l'oncle Picsou et donc, comme un héritier. Mais, après plusieurs années de acharnées, le tribunal aura enfin tranché en la faveur de la famille Duck. Pour éviter d'autres procès et toute tentative de cambriolage, le coffre-fort est vidé et l'argent est déposée dans des banques.
Plus tard, dans la même journée, malgré ses nombreuses réticences contre, Donald demande enfin Daisy Duck en mariage. Ils se marient à la cathédrale Notre-Duck auprès de leurs amis et de leur famille (Mickey Mouse, Dingo, Clarabelle Cow...), et vivent heureux très longtemps. Un jour, Donald et Miss Frappe prennent leur retraite, et se sont Riri, Fifi et Loulou qui sont devenus adultes, qui reprennent le flambeau. Les neveux décident de mettre à profit la fortune de la fondation pour développer l'écologie, comme ils le souhaitaient. Grâce à eux, la pollution a disparu et les énergies utilisées sont propres. Pour leur rendre hommage, le magazine "Canards d'élite" met Riri, Fifi et Loulou, ainsi que leur famille, en première page.
Ces informations sont toutefois sujettes à caution, car le fait que les personnages Disney puissent vieillir est une hypothèse rejetée par de nombreux auteurs. De toutes manières, l'histoire elle-même contient des distorsions temporelles qui modifient le passé à cause des voyages dans le temps libres à une précédente époque. Ainsi, l'épisode se finit sur des legs de Picsou, sans aucune trace de l'existence de la Fondation.
Plusieurs fans pensent que, après leur mariage, Donald Duck et Daisy Duck ont eu un enfant, puisque dans l'histoire Echange Standard datée de novembre 2001, DN-3000 et RHI-I, FHI-I et LHO-U 4000, descendants de Donald Duck, nous sont montrés. Or, Donald s'est toujours montré fidèle avec sa fiancée, même s'il a eu quelques conquêtes comme la belle mexicaine Donna Duck, l'extraterrestre Pulcinella, la femme préhistorique Oona, ou encore l'ancienne secrétaire de Balthazar Picsou, Carla, qu'il a même failli épouser. Mais ces relations furent toutes de courtes durées, alors c'est tout naturellement que certains fans pensèrent que Donald eut un enfant avec sa fiancée.
Jeux vidéo
Donald apparaît dans la série de jeux vidéo Kingdom Hearts, où il joue le rôle d'un magicien royal, ce qui n'est pas sans rappeler la série Le Cycle des magiciens (même s'il est à noter que la série de jeux la précède). Accompagné de Dingo, ici capitaine de la garde, il voyage au travers des mondes aux côtés de Sora, porteur de la Keyblade, afin de les protéger de la menace des ténèbres et des Sans-cœur.
Bibliographie
- Un numéro de la revue Les Trésors de Picsou lui est consacré, le tome quatorze ne contenant que des histoires spéciales de Donald, ainsi que Le Journal de Mickey n°1205 et le Picsou Magazine n°389.
- En 2014, à l'occasion des quatre-vingt ans de la création du personnage, Les Trésors de Donald, hors-série de Picsou Magazine en deux tomes est créé. Il conte des histoires très recherchées où les principaux personnages Disney comme Donald Duck, Daisy Duck ou encore Riri, Fifi et Loulou Duck, font leur première apparition.
Noms à l'étranger
- Arabe : بطوط (Batout)
- Croate : Paško Patak
- Danois : Anders And
- Espéranto : Donaldo Anaso
- Estonien : Piilupart Donald
- Finnois : Aku Ankka
- Hongrois : Donald Kacsa
- Islandais : Andrés Önd
- Italien : Paperino
- Letton : Donalds Daks
- Lituanien : Antulis Donaldas
- Polonais : Kaczor Donald
- Portugais : Pato Donald
- Slovaque : Káčer Donald
- Suédois : Kalle Anka (Anka signifie canard tandis que Kall signifie froid.)
- Tchèque : Kačer Donald
- Turc : Donald Amca
- Vietnamien : Vịt Donald
Voir aussi
↳ Le billet de blog Les mille et un visages de Donald Duck.
↳ La catégorie où sont listées toutes les apparitions en bandes dessinées de Donald Duck.
↳ La catégorie où sont listées toutes les apparitions en court métrage de Donald Duck.
↳ La catégorie où sont listées toutes les apparitions en moyen métrage de Donald Duck.
↳ La catégorie où sont listées toutes les apparitions en long métrage de Donald Duck.
Notes et références
- ↑ On apprend le second prénom de Donald Duck dans le court métrage Donald à l'armée sorti en 1942.
- ↑ Ce dernier surnom étant essentiellement utilisé dans les dessins animés.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 2005-367 Ça coule de source, histoire de Vicar et Gorm Transgaard publiée en 2007.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 93574 Si Donald n'existait pas..., histoire de Don Rosa datée de 1994.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 93227 L'Envahisseur de Fort Donaldville, histoire de Don Rosa datée de 1994.
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : W OS 1109-02 Quelle vie trépidante, Donald !, histoire de Vic Lockman, Tony Strobl et Steve Steere datée de 1960.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 97437 Un jour sans bol..., histoire de Don Rosa datée de 1998.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 93288 Le Canard le plus riche du monde, histoire de Don Rosa datée de 1994.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 97052 C.E.S.T.D.U.C.H.A.R.A.B.I.A., histoire de Don Rosa datée de 1997.
- ↑ Si le village de Fermeville, ainsi que ses habitants et son club sont apparus dans le court métrage d'animation Une petite poule avisée en 1934, c'est Don Rosa qui, dans une de ses déclarations, suggère que Donald y vivait à l'âge de 14 ans.
- ↑ Selon les nombreux dessins animés de propagande Disney durant la guerre
- ↑ Dans Saludos Amigos
- ↑ Dans Les Trois Caballeros
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : ZS 37-10-17 Donald, Riri, Fifi et Loulou, gag de Ted Osborne et Al Taliaferro de 1937.
- ↑ Base I.N.D.U.C.K.S : ZS 37-11-21 Ducky Symphony.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : W OS 9-02 Donald et le trésor du pirate !, histoire de Carl Barks et Jack Hannah de 1942.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : W OS 29-01 L'anneau de la momie, histoire de Carl Barks de 1943.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : W OS 178-02 Noël sur le mont Ours, histoire de Carl Barks de 1947.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : D 93488 Le Reclus du Manoir McPicsou, histoire de Don Rosa de 1994.
- ↑ Cf. Base I.N.D.U.C.K.S : W OS 147-02 La vallée des volcans, histoire de Carl Barks de 1947.
Jeux olympiques |
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Lieux | Berlin • Lillehammer • Londres • Mont Olympe • Paris • Pékin • Rio de Janeiro Saint-Louis | |
Participants | Donald Duck • Dingo • Hector Pourfenlair • Bill Lancemissil • Carlos Alamos • Derviche • Hercule Quadrisseps • Teddy Riner | |
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