Fantomiald prend des risques ! est une histoire en bande dessinée de vingt-et-une pages scénarisée par Guido Martina et dessinée par Francesc Bargadà Studio. Elle fut publiée pour la première fois le 1er février 1983 en Italie. Elle met en scène Balthazar Picsou, Donald Duck et son alter-ego Fantomiald et Riri, Fifi et Loulou Duck. L'action se déroule à Donaldville, dans le coffre de Picsou, dans la maison de Donald Duck, dans les rues de Donaldville mais aussi dans le parc de Donaldville.
Synopsis[]
Donald n'abuserait-il pas un peu des pouvoirs de Fantomiald pour sa cause personnelle ? Si c'est pour la bonne cause, comme offrir des vacances à ses neveux, qui pourrait lui en vouloir ? Mis à part son oncle Picsou ...
Résumé complet[]
L'histoire commence dans le salon de Donald. Ses neveux, Riri, Fifi et Loulou reviennent à l'instant de chez Oncle Picsou où une mission périlleuse les attendait : demander un prêt à Oncle Picsou... qui a refusé bien sûr ! Donald est attristé, il souhaitai amener ses neveux en vacances... Mais Donald n'a qu'une parole, il va trouver un moyen pour les y amener !
Donald décide de passer un coup de fil à son oncle en masquant légèrement sa voix et en se faisant passer pour « un ami qui lui veut du mal »... Picsou n'est pas dupe et fonce chez son neveu pour en avoir le cœur net sur l'émetteur de ce mystérieux message. Quant à Donald, il coupe le fil de son téléphone pour ne pas attirer des soupçons...

Fantomiald fonçant dans la nuit pour mener son plan à bien.
Quand le richissime canard arrive chez son neveu, ce dernier explique qu'il n'a pas pu passer ce coup de fil en montrant son téléphone non relié et qu'il avait besoin d'argent pour payer la facture de téléphone... Il pense également que c'est Fantomiald qui a dû passer cet appel, car il savait que son ami Donald avait besoin de cent dollars. Mais Picsou a un cœur et a une idée : il décide de donner ces cent dollars et en échange, Donald devra travailler dans les vignobles de son oncle ! Après avoir donné le billet, Picsou sort de la maison et croise les trois jeunes canards qui lui explique qu'en réalité, c'est eux qui paye la ligne de téléphone et non Donald... Picsou est fou de rage et récupère son billet. Donald doit trouver une autre solution...
Le soir, il endosse son costume de Fantomiald, équipé de sa ceinture à rayons directionnels, et va dans la cabine téléphonique la plus proche pour passer un appel à Picsou. En cachant sa voix, il explique qu'il laisse le milliardaire face à sa conscience et raccroche aussi sec. Le lendemain, Donald souhaite voir si son plan a fonctionné. Il va donc au parc de Donaldville, en sachant que c'est l'heure de la promenade de Picsou. Il le rencontre en effet là-bas et demande au milliardaire s'il a des remords sur la conscience... chose qu'il n'a pas bien sûr !

Picsou face à sa « conscience ».
Mais Donald se rend alors au coffre-fort de son oncle et se dépêche de se rendre à son bureau en passant par la fenêtre grâce à sa ceinture spéciale. Il se déguise alors en Picsou et l'attend à son bureau. Quand le vrai Picsou arrive, Donald se fait passer pour la conscience du milliardaire et lui dit qu'il doit absolument donner les cent dollard à Picsou. Mais le milliardaire fait alors un malaise ! Se rendant compte qu'il est allé trop loin, Donald s'échappe par la fenêtre mais se trahit par un dernier "Oncle Picsou" laché avant de partir...
Picsou comprend alors tout le plan de son neveu et fonce chez son neveu ! Il y explique alors qu'il a rencontré sa conscience qui lui a dit qu'il devait emmener Donald et se neveux à la campagne. Ces derniers sont fous de joie de ce revirement. Encore mieux, le milliardaire les emmène dans son vignoble et demande juste un tout petit travail ... juste récolter du raisin. Donald et les jeunes canards sont ravis ... jusqu'au moment où ils voient les 18 000 pieds sur lesquels ils devront travailler !

Picsou présente son vignoble à Donald et ses neveux...
En coulisses[]
Publication française[]
L'histoire a été publiée deux fois en France, dans :
- Super Picsou Géant n°2 de juillet 1983 ;
- Les chroniques de Fantomiald n°8 du 12 décembre 2018.