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Mairie de Donaldville

Une apparition de la mairie.

Map

Carte de Donaldville où l’on peut voir, entouré en jaune, la mairie de Donaldville

La mairie de Donaldville, aussi appelée hôtel de ville de Donaldville, est un lieu de l'univers de Donald Duck.

Historique[]

La mairie de Donaldville est un lieu se situant à Donaldville, plus précisément près du dépôt de Picsou, où se retrouvent divers hommes politiques. C'est aussi à la mairie de Donaldville que se trouve le bureau du maire, des conseillers et des chefs de la sécurité (pompiers, policiers, agents municipaux, etc). Notons également que, chaque année à Noël, les habitants de Donaldville se réunissent autour de la mairie où ils mangent et célèbrent Noël ensemble.[1]

Mairie de Donaldville 2

Donald Duck passant devant la mairie.

En coulisses[]

Le maire de Donaldville, principale représentant de la mairie, est apparu dans un bon nombre d'histoires. La mairie est elle-même est apparue pour la première fois dans l'histoire de Carl Barks, La montre des McDuck de juin 1955. Balthazar Picsou y affirme qu'il peut voir l'heure sur l'horloge de la mairie depuis son coffre, en se penchant par la fenêtre. Il en fera même une démonstration.

Mairie de Donaldville 3

Picsou, ses neveux et deux représentants de la mairie (dont le maire).

La mairie fera quelques autres apparitions dans des histoires de Carl Barks, Don Rosa, Daniel Branca et Vicar. Elle sera également présente dans certaines histoires italiennes. Par exemple, dans l'histoire Picsou et le resto virtuel de Giuseppe Ramello et Carlo Limido, la mairie sera dotée d'un terrain de golf en guise de toit payé par John Flairsou. D'ailleurs, il est indiqué dans cette histoire que la mairie est voisine d'un restaurant holographique de ce dit milliardaire.

Lumières sur la ville - extrait 1

Le fronton de la mairie tel que dessiné par Daniel Branca dans Lumières sur la ville.

Il est à noter que la mairie adopte des apparences différentes d'une histoire à l'autre, quoiqu'elle soit toujours d'un style américain assez classique du XIXème siècle, le plus souvent de pierre claire avec un fronton à la grecque.

Notes et références[]

  1. Ce détail est révélé dans Les mésaventures d'un sapin de Noël, histoire de Bob Gregory au scénario et Carl Barks au dessin datée de décembre 1958.
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