La roue de la fortune est une histoire en bandes dessinées de vingt pages scénarisée par Rodolfo Cimino et dessinée par Giorgio Di Vita. Elle fut publiée pour la première fois le 2 septembre 2008 en Italie. Elle met en scène Balthazar Picsou, Donald Duck, Riri, Fifi et Loulou Duck et Baptiste. L'action se déroule à Donaldville et en Orient.
Résumé complet[]
Picsou, après avoir congédié son ingénieur en vélocipèdes, présente sa stratégie : acheter de vieux vélos, les équiper d'un gadget à la mode et les repeindre afin de les revendre trois fois plus cher en les faisant passer pour des vélos neufs, et même pas besoin d'usine, il suffit d'un bateau-cycles contenant 100.000 vélos pour y parvenir. Pour cette fois-ci, les nouveaux gadgets sont un double phare avant, des pédales chaussettes et une selle bicolore. Donald expose cette stratégie à ses neveux en leur montrant le bateau-cycles en question.
Picsou engage alors sa famille dans le bateau-cycles, direction l'Orient où les quatre canards sont chargés de garder l’œil sur les vélos. Au premier port, le succès est immédiat : 40.000 vélos vendus pour 25.000 vieux vélos récupérés mais il y a un mécontent qui n'a pas droit à l'échange de vélo puisqu'il n'a pas un vélo Picsou et que par conséquent il est incompatible avec les nouveaux gadgets. Une fois les vélos retapés avec les nouveaux gadgets, ils se vendent encore plus vite mais il y a un nouveau mécontent : un paysan veut échanger contre un vélo mais Donald fait une erreur en voulant essayer de refourguer un vélo non retapé, ce qui vaut à Donald d'être frappé une deuxième fois.
La tournée va prendre fin avec la dernière étape, direction l'île du Karkara Cycliste, île où le cyclisme est sport roi. Mais le Karkara cycliste veut aller à l'encontre des traditions en achetant un vélo de Picsou alors que l'usage veut qu'il utilise le vélocipède ancestral, surtout en voyant ses sujets avec le vélo en question. Et Donald accepte alors l'échange sous la menace.
Retour à Donaldville avec vingt vélos impossibles à retaper, sans compter le vélocipède du Karkara Cycliste. Picsou décide alors d'être généreux en donnant à Donald ces vingt vélos et celui du Karkara en question, histoire de faire l'économie d'un salaire à verser. Toutefois, Baptiste fait alors part à son patron d'un télégramme urgent du Karkara Cycliste : il regrette l'échange de vélos et est prêt à payer son poids en or pour récupérer le vélocipède ancestral. Picsou s'évanouit alors et Baptiste prévient ce qu'il appelle quatre canards méritants.
En coulisses[]
Publication française[]
Cette aventure n'a été publiée qu'une seule fois en France : dans Le Journal de Mickey Tour de France 2014, distribué gratuitement durant la compétition cycliste en juillet.