Picsou Wiki
S'inscrire
Advertisement
Picsou Wiki
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Mamie (homonymie).

Mamie Rapetou (Granny Beagle en version originale), surnommée « M'ma Rapetou », est une chienne anthropomorphe de l'univers de Donald Duck.

Historique[]

Épouse de Gracié Rapetou, Mamie Rapetou était la grand-mère des frères Rapetou, de De Laclasse et de leurs nombreux cousins. Par conséquent, cela fait d'elle l'arrière-grand-mère des Mini-Rapetou et de Penny.

Dans sa jeunesse, elle vécut un moment avec ses trois fils et son mari sur un terrain en toute illégalité pour échapper à la police.[1]

Après que ses fils soient partis, elle quitta le terrain et s'installa dans une maison de banlieue donaldvilloise, où son petit-fils, De Laclasse, essaya de l'arnaquer en lui demandant l'aumône pour les orphelins de Rapetouville.

Mamie Rapetou donna un rouet ancien et sa vaisselle en porcelaine à son petit-fils, qui l'emporta en fait dans un vide grenier lui appartenant pour les revendre. En découvrant cela, Mamie récupéra ses affaires et De Laclasse se retrouvât sans un sou.

Cette grand-mère des Rapetou est probablement décédée, puisque dans les histoires de Don RosaGracié Rapetou apparaît, il semble vivre tout seul avec ses petits-fils à Donaldville, parlant même de sa femme au passé.

En coulisses[]

Mamie Rapetou est citée pour la première fois dans l'histoire de Carl Barks, Un puits de dollars, publiée pour la première fois en mars 1958.

Par la suite, elle fait sa première apparition physique dans un gag scénarisé par Tony Strobl et dessiné par Steve Steere, paru le 23 novembre 1966. Elle sera réutilisée dans une trentaine d'histoires danoises, et occasionnellement dans des récits brésiliens et néerlandais.

Elle est aussi utilisée dans l'histoire de Don Rosa, L'Envahisseur de Fort Donaldville, publiée pour la première fois le 7 mars 1994, où elle dit simplement une phrase sans être vue [2].

Anecdotes[]

  • Dans certaines histoires, Mamie Rapetou est citée comme une tante des frères Rapetou. Ainsi, dans la traduction suédoise de A Deceptive Lid (Antoni Gil-Bao, 1971), elle est d'abord nommée « Faster Ofalia » (« faster » étant le mot pour « tante »). Des traductions françaises la nomment aussi « tantine Léonie Rapetou ». Une certaine confusion existe donc entre entre deux personnages, pouvant coexister dans la grand-mère des Rapetou. Il ne faut pas non plus confondre le personnage de Mamie Rapetou avec celui de Ma Rapetou, la mère des Rapetou vus dans La Bande à Picsou (qui ne sont d'ailleurs pas les mêmes que le trio ou quatuor récurrent dans les bandes dessinées).
Mamie Rapetou Eli Marcos M

Gracié et Mamie Rapetou, dessinés par Eli Marcos M. Leon en 1986.

  • Dans l'histoire brésilienne d'Eli Marcos M. Leon parue en 1986 Comos nos Bons Tempos, inédite en français, on peut voir une version tout à fait différente de la femme de Gracié, maigre et décatie.

Notes et références[]

  1. Dans l'histoire de Carl Barks, Un puits de dollars, puis dans celle de Don Rosa, L'Envahisseur de Fort Donaldville.
  2. Dans cet épisode de La Jeunesse de Picsou, les pères des Rapetou parlent à leur mère dont on ne voit pas le visage : « M'ma, si la police s'amène, dis-leur que tu ne sais rien sur les bêtes volées ! » et elle leur répond : « Ils vont bien rigoler ! »
Advertisement