Si Donald n'existait pas... est une histoire en bande dessinée de seize planches scénarisée et dessinée par Don Rosa. Elle fut publiée pour la première fois en mai 1994 dans l'album 60 Jahre Donald Duck en Allemagne. Elle met en scène Donald Duck, Balthazar Picsou, Riri, Fifi et Loulou Duck, Daisy Duck, Gontran Bonheur, Géo Trouvetou, Filament, Elvire Écoutum, Gus Glouton, les Rapetou, Lili, Lulu et Zizi Duck (qui font un caméo), le conservateur du musée de Donaldville et le génie des anniversaires, ainsi qu'Archibald Gripsou, Miss Tick De Sortilège et Algorab qui apparaissent en flashback. Elle se déroule à Donaldville. L'histoire célèbre les soixante ans de la première apparition de Donald Duck, le 9 juin 1934, dans le dessin animé Une petite poule avisée.
Synopsis[]
Donald, le jour de son anniversaire, est déprimé de son insignifiance, persuadé d'être totalement inutile et se demandant si le monde ne serait pas mieux s'il n'avait jamais existé. Toutefois, un choc au musée de Donaldville le fait rencontrer un génie des anniversaires qui exauce malgré lui son vœu de n'être jamais né...
Résumé complet[]
Le matin de son anniversaire, un 9 juin, Donald Duck était extrêmement déprimé, persuadé d'être totalement insignifiant : il allait encore à un entretien pour un nouveau travail, duquel il serait sûrement renvoyé dans la journée. Il vit ses neveux Riri, Fifi et Loulou, et fut très déçu de réaliser qu'ils avaient oublié son anniversaire ; les enfants essayèrent tout de même de se rattraper en lui souhaitant un joyeux anniversaire, mais c'était trop tard pour Donald, d'une humeur de plus en plus maussade. Le canard se disait qu'il était totalement inutile, et que s'il n'existait pas, le monde serait pareil, voire meilleur ; selon lui, il n'était qu'un piètre exemple pour les enfants. Peu après, au musée de Donaldville, Donald remplit un formulaire pour pouvoir devenir concierge dans le musée. Cependant, le conservateur, à la vue défaillante, lut la feuille à l'envers et crut comprendre que Donald avait soixante ans (il avait en fait lu la date du 9 juin à l'envers). Le canard voulut lui dire qu'il se méprenait, mais le conservateur ne changea pas d'idée et déclara que le musée appliquait la retraite à soixante ans : il lui offrit donc une montre en or en guise de remerciement et le poussa vers la sortie.
Donald était surpris par cette « carrière » extrêmement courte. Il regarda attentivement sa nouvelle montre, mais celle-ci se rompit, surprenant le canard qui heurta un vase dans le musée. Celui-ci l'assomma, et Donald reprit ses esprits en commençant à entendre une étrange voix. Il leva les yeux et aperçut un canard qui se prétendait être génie des anniversaires : Donald avait en effet touché le vase le jour de son anniversaire, il pouvait donc faire exaucer un vœu de son choix. Le canard n'y crut pas une seconde, et pensa qu'il y avait une caméra cachée pour la télévision. Le génie le prit mal et menaça de retourner dans son vase ; Donald réalisa qu'il ne passerait pas à la télévision, et pensa alors qu'il avait raté encore une autre occasion... Il souhaita alors ne jamais être né. Le génie entendit cela, et décida d'exaucer ce vœu, qu'il estimait d'ailleurs assez mauvais. Donald crut à un traquenard, pensant qu'il ne pouvait ne pas être né étant donné qu'il était encore là. Le génie le poussa vers la sortie, et Donald remarqua alors que les portes du musée avaient été remplacées par des planches de bois scellant le passage... Il réussit à sortir, mais aperçut le quartier totalement dégradé, les immeubles emplis de graffitis et les trottoirs sales. Le canard vit que sa voiture avait été volée, mais aperçut par chance la voiture de Grand-mère Donald au loin ; il alla la voir pour qu'elle puisse l'emmener au commissariat afin de porter plainte pour le vol de sa voiture.
Cependant, il fut surpris de découvrir que ce n'était pas Grand-mère qui conduisait la voiture, mais Géo Trouvetou, habillé étrangement en paysan. Celui-ci apprit à Donald que cela faisait des années qu'il avait acheté la ferme et la voiture de Grand-mère. Face à la surprise du canard, Géo lui raconta qu'auparavant il était inventeur ; mais un jour, il inventa des boîtes à penser pour rendre les animaux intelligents. Un loup passa entre ces boîtes, et devint subitement intelligent ; Géo inversa la polarité des boîtes pour ramener tout à la normale, mais le loup intelligent se mit à le poursuivre, et les deux passèrent entre les boîtes ; celles-ci rendirent le cerveau animal au loup, mais Géo fut alors doté d'un cerveau humain normal : il perdit donc toute créativité et dut se décider à devenir fermier. Donald était surpris, expliquant que le loup l'avait capturé lui, quand ça s'était passé, et que l'inventeur s'était glissé derrière lui avec ses boîtes... Mais Géo nia, ne semblant même pas connaître Donald, et lui demanda s'il était capable de réparer Filament, qui s'était arrêté depuis des années. Le canard partit, ne comprenant pas ce qu'était arrivé à Géo, et se dirigea à travers les rues délabrées, jusqu'à apercevoir le coffre de Picsou. Il pensa pouvoir y téléphoner s'il donnait un cent à son oncle ; toutefois, en fouillant dans ses poches, il fut surpris de découvrir qu'il n'avait ni monnaie, ni clefs de voiture. Il entra tout de même dans le bureau de miss Frappe, mais il découvrit en lieu et en place de la vieille secrétaire Grand-mère Donald...
Donald lui raconta son étrange rencontre avec Géo, mais Grand-mère sembla confirmer les dires de l'inventeur, déclarant que sa ferme lui manquait, mais qu'elle ne pouvait s'en occuper seule... Gus Glouton n'avait alors jamais travaillé pour elle. Donald ne comprenait pas, et déclara chercher l'oncle Picsou ; mais Grand-mère lui informa que le coffre avait été acheté il y a des années par Miss Daisy Duck pour qu'elle y installe son imprimerie : en effet, Daisy était devenu une écrivaine à succès, dont les romans d'amour étaient des best-sellers. Grand-mère déclara à Donald qu'elle s'était mise à écrire pour combler le vide de sa vie... L'écrivaine en question arriva alors : Daisy arborait un long manteau de fourrure, une imposante perruque blonde et était sur-maquillée. Elle s'énerva contre Donald, pensant qu'il s'agissait d'un journaliste ou d'un simple fan, et le renvoya du coffre. Le canard comprit alors la vérité ; le génie n'était pas un traquenard, et avait vraiment réalisé le vœu de Donald : celui de ne jamais être né. Il vit alors sa voiture garée en bas de la colline Killmotor, et se demanda ce qu'elle faisait là s'il n'avait jamais existé. Il put la démarrer comme les clefs y étaient, et se décida à chercher des réponses à toutes les questions qu'il se posait. Il aperçut alors Gus, et alla le voir pour l'interroger. Il fut alors extrêmement surpris de découvrir que Gus était devenu assez maigre, ce à quoi le jars rétorqua qu'il était difficile de manger à sa faim quand on n'avait pas de travail...
Il apprit à Donald qu'il n'avait jamais travaillé à la ferme de Grand-mère, et qu'il était devenu le premier assistant de Balthazar Picsou. Il dessina un arbre généalogique sur un mur pour prouver à Donald son lien de parenté avec le riche milliardaire, et le canard comprit que comme il n'était pas né, Gus était le seul parent de Picsou qui puisse travailler pour lui. Le jars raconta que ce travail n'avait pas duré : en effet, le premier jour, Miss Tick alla vendre des hamburgers devant le coffre pour un sou seulement. Gus en acheta, et prit une petite avance sur sa paye en payant le hamburger avec le sou fétiche de Picsou... Le milliardaire se précipita pour la rattraper, mais c'était trop tard : elle avait fondu le sou pour en faire une amulette magique ; c'était désormais elle la femme la plus riche du monde. Picsou perdit alors toute confiance en lui, et Archibald Gripsou en profita pour lui faire signer un contrat véreux : il y perdit toute sa fortune, et toutes les entreprises de Picsou furent délocalisées en Afrique du Sud. Avec la perte des impôts du milliardaire et ces délocalisations, Donaldville était devenue une ville fantôme... Donald était ébahi par tous ces faits, et demanda où pouvait-il trouver l'oncle Picsou. Gus souleva alors un vieux torchon sur un tonneau, et Donald y vit son vieil oncle en haillons s'étant assoupi... Picsou se réveilla précipitamment, et hurla à Gus s'il pouvait donner un sou à Donald, comme il l'avait fait pour Miss Tick... Gus calma le vieux canard, tandis que Donald se précipita sur sa voiture et fuit cette scène horrible, se demandant quel bon côté avait ce monde où il n'était pas né.
Il pensa alors à Gontran Bonheur, et espéra qu'il fût tout aussi malheureux que les autres. Arrivé à sa maison, il y entra avec un sourire démoniaque, voulant absolument voir son cousin devenu malchanceux. Toutefois, il découvrit dans le salon Riri, Fifi et Loulou, devenus trois énormes canetons gras, affalés sur le canapé, se gavant de nourriture et regardant les nombreuses télévisions gagnées par Gontran à des loteries et des tombolas. Ils vivaient chez lui depuis qu'ils étaient tout petits, et semblaient adorer cette vie, espérant eux aussi être chanceux quand ils seraient grands. Donald essaya de raisonner les canetons, leur demandant s'ils ne faisaient pas partie des Castors Juniors : mais Riri, Fifi et Loulou semblaient mépriser « ces petits crétins qui ne font qu'étudier et marcher dans la forêt ». Gontran arriva alors, et demanda à Donald s'il était de la compagnie d'assurance pour la voiture volée. Il déclara que le voleur l'avait ramenée, et qu'il l'avait trouvée devant la maison quand il était venu avec la police : la voiture en question était la 313 de Donald, que le canard avait « empruntée » lorsqu'il l'avait aperçue au pied de la colline Killmotor. Celui-ci demanda à son cousin s'il n'était pas malheureux, plein d'espoirs, mais Gontran lui répondit que même si on lui avait volé cette vieille voiture, il en gagnait plein d'autres aux loteries, et qu'il pensait être en réalité l'homme le plus heureux du monde. Donald ne pouvait entendre cela, lorsque Gontran réalisa que c'était lui qui avait volé sa voiture : il ordonna à la police de l'arrêter, ce qui fit sourire Riri, Fifi et Loulou qui étaient heureux de voir un peu d'action ; et quand Donald courut pour sortir de la maison, il heurta un Rapetou en tenue de policier.
Les Rapetou apprirent à Donald que comme Picsou avait tout perdu, ils avaient été contraints de devenir « honnêtes ». Ils vivaient exclusivement de « pourboires », et cette police corrompue était activement soutenue par le maire de la ville, également un Rapetou. Donald fut totalement abasourdi en entendant cela, et se jeta dans la voiture 313 pour fuir à tout prix les environs. Les Rapetou décidèrent de le poursuivre, appelant d'autres unités de police en renforts. Donald était désespéré, comprenant qu'aussi inutile qu'il paraissait, le monde restait mieux avec lui. Il n'avait qu'une solution : retourner le plus rapidement possible au musée. Il fonça avec la voiture sur l'entrée scellée du musée, puis heurta de nombreux artefacts qui restaient. Les Rapetou arrivèrent rapidement, Donald n'avait plus le temps : il courut vers le vase du génie, et implora au pied de celui-ci qu'il avait déjà utilisé son vœu, et que tout était fini... Le génie sortit alors du vase, et lui déclara qu'on avait un seul souhait à chaque fois qu'on touchait le vase le jour de son anniversaire, c'est-à-dire que Donald avait encore la possibilité d'avoir un vœu s'il touchait à nouveau le vase. Donald crut à une farce cruelle, et refusa de toucher le vase, tandis que les Rapetou se rapprochaient de lui. Le génie avait deviné le souhait de Donald, et se décida finalement à l'assommer avec le vase, au moment où les « policiers » allaient l'attraper.
Donald reprit ses esprits, dans un musée qui avait retrouvé son bon état ; les Rapetou avaient disparu. Le canard réfléchit à ce qui venait de lui arriver, et bien que tout avait l'air très réel, il conclut à un rêve, et partit très heureux du musée, retrouvant enfin sa voiture (qui cette fois-ci était réellement à lui) et ses clefs qui étaient revenues dans sa poche. Une petite voix ironique sortit du vase : « Quel tordu ! Il parle tout seul ! Et ça discute ! » Arrivé chez lui, Donald vit de nombreuses factures dans sa boîte au lettres, mais ne s'en préoccupa pas, pensant qu'il ne pouvait pas les payer, n'ayant pas de travail : une chose importait selon lui, c'est que la vie fût belle. Il fut surpris en rentrant de découvrir que ses neveux avaient organisé une fête pour son anniversaire, et qu'ils étaient inquiets de l'avoir vexé en ayant fait semblant d'avoir oublié son anniversaire. Gontran souhaita un joyeux anniversaire à Donald, déclarant que s'il n'était pas riche, beau et populaire, il aurait voulu être comme lui. Picsou lui offrit du soda Gargle-Burp, son soda préféré ; les bouteilles étaient toutefois consignées. Donald remercia ses neveux, qui lui dirent que même si ses idées ne fonctionnaient pas toujours, il était leur héros quand même ; leurs vies auraient été bien vides sans lui. Alors que les larmes venaient aux yeux du canard, le conservateur du musée entra chez lui, et déclara à Donald qu'il avait commis une grossière erreur : en échange, il récupérerait son travail, avec une augmentation et ses excuses ; en effet, la retraite n'était qu'à soixante-cinq ans, et il était toujours persuadé que Donald en avait soixante. Daisy tressaillit en entendant cela, mais Gontran rattrapa le coup en proposant d'ajouter des bougies au gâteau : tous les amis de Donald l'entourèrent alors pour lui souhaiter son joyeux soixantième anniversaire.
En coulisses[]
En 1994, l'éditeur Egmont demanda à Don Rosa de réaliser une histoire pour célébrer le soixantième anniversaire de Donald Duck, apparu pour la première fois dans le court-métrage Une petite poule avisée, sorti le 9 juin 1934. Pour cela, Rosa s'inspira du film de Frank Capra, La vie est belle, sorti en 1946. Dans ce film, un ange nommé Clarence Oddbody montre à l'altruiste George Bailey, personnage désespéré, comment seraient sa ville natale et sa famille s'il n'était jamais né. Rosa ne cacha pas du tout cette inspiration, faisant même déclarer à Donald à la fin de l'histoire : « La vie est belle ! » Cette histoire est la seule histoire où Don Rosa utilise l'intégralité des membres de la famille Duck, y compris Lili, Lulu et Zizi Duck, les trois nièces de Daisy, telles que Carl Barks les avaient créées. Rosa avoue regretter dans cette histoire d'avoir dessiné Filament avec une tête beaucoup trop petite selon lui, qui ressemblerait plus à une décoration de sapin de Noël qu'à une ampoule de cent watts.
Dans la version originale du scénario, sa première idée de ce qui était arrivé au génie de Géo était différente : il recevait en effet un coup sur la tête de l'une des vaches de grand-mère Donald. Toutefois, cette histoire a paru un peu trop violente au goût de Don Rosa, et même pas forcément drôle. Il décida donc de remplacer cette idée par une raison plus longue et plus douce pour que Géo perde son génie : il s'inspira de l'histoire de Barks La boîte à Géo, au cours de laquelle Donald perturbait l'essai des boîtes de Géo permettant à un animal d'obtenir une intelligence humaine. Dans un monde où Donald n'existait pas, Géo se retrouvait seul face au loup devenu soudainement intelligent, et fut piégé par celui-ci, se retrouvant malencontreusement à passer entre les deux boîtes, qui firent disparaître son intelligence remarquable. À un certain moment de l'intrigue, Gus Glouton présente à Donald l'arbre généalogique de sa famille, qui est une reproduction (amputée de Donald, forcément) de celui établi plus tôt par Don Rosa. À cette occasion, Don Rosa ironise gentiment sur le côté compliqué de la généalogie des Duck, dans une tirade où Gus use d'une périphrase ridiculement compliquée pour expliquer à Donald son lien de parenté avec Picsou : « Je suis le fils de la fille du frère de la mère du mari de sa sœur... ».
Cette histoire rappelait à Don Rosa la toute première histoire de Donald Duck qu'il avait faite, qu'il avait perdue pendant quarante ans mais récemment retrouvée. Il s'agissait de Return to Duckburg Place, qu'il avait écrite en 1970. Dans cette histoire parodique, ce n'était pas la disparition de Donald qui causait le changement radical des personnages, mais simplement leur vieillissement... Il y montrait Riri, Fifi et Loulou comme des représentants de la culture jeune américaine : des militants politiques radicaux et des consommateurs de drogue. Dans la version de 1994, il les montrait également comme des jeunes Américains typiques de l'époque, accros à la télévision et consommateurs de junk food. Les Rapetou devinrent des gardiens de la paix comme dans Return to Duckburg Place, Picsou perdit l'intégralité de sa fortune et Daisy devint une riche écrivaine oisive après avoir vendu son journal intime à Hollywood. Cependant, Grand-mère Donald, Gus Glouton et Gontran Bonheur connurent un destin beaucoup plus soft dans la version de 1994 ; ces trois personnages devaient en effet mourir dans le version de 1970.
L'histoire plus récente Double "je", publiée en 2007, use d'un argument similaire, sauf que dans Double "je", Donald fait le vœu de ne jamais être né, mais aussi (fait absent de l'histoire de Rosa) que sa vie ait été vécue par un autre lui-même, Desmond Duck. L'histoire est également très similaire à Bonne année, monsieur Duck !, parue quand à elle en 2006, dans laquelle Donald, après une tentative de suicide, voit son ange gardien apparaître pour lui montrer ce que serait la vie de sa famille sans lui.
Détails d'arrière-plan[]
De multiples détails humoristiques sont présents dans cette histoire :
Détails | Position | Illustration |
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Un dessin de Donald accroché au frigo. | Planche 1 Case 1 |
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Des oiseaux bien curieux à la fenêtre dela cuisine. | Planche 1 Case 1 |
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Un pigeon observant Donald depuis la boîte aux lettres. | Planche 2 Case 1 |
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Un dieu aztèque de la grossièreté. | Planche 3 Case 4 |
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Un Mickey caché parmi les icônes vaudoues. | Planche 4 Case 6 |
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Un graffiti désignant un certains Byron, clin d’œil de Don Rosa à son éditeur Byron Erickson. | Planche 5 Case 2 |
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Le bec de la statut arraché avec une gravure comme nouveau visage. | Planche 5 Case 3 |
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Un chat dans un tonneau, observant Donald. | Planche 6 Case 6 |
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Un chat fouillant dans une poubelle. | Planche 6 Case 7 |
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Des trèfles exclusivement à quatre feuilles roses dans le jardin de Gontran. | Planche 11 Case 4 |
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Le fameux coffre-fort dans la maison de Gontran, où se trouve l'unique pièce qu'il a gagnée en travaillant (apparu dans Un sou pas fétiche). | Planche 11 Case 5 |
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Un chat dans une poubelle, observant la course poursuite entre Donald et les Rapetou. | Planche 12 Case 7 |
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Les statues du musée et la gravure, observant Donald. | Planche 12 Case 9 |
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Une souris dans la voiture de Gontran. | Planche 13 Case 1 |
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Des œufs carrés exposés sous le nom de « pierres ». Dans un monde sans Donald, personne n'aurait cassé une de ces pierres d'exposition et découvert qu'il s'agissait d'un œuf carré comme Donald le fait maladroitement dans Perdus dans les Andes !. Don Rosa souligne ainsi que la découverte de Sétatroce ne se serait pas faite sans Donald. | Planche 13 Case 1 |
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Un pigeon attendant Donald pour qu'il vide la boîte aux lettres. | Planche 15 Case 1 |
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L'oncle Picsou ne sachant pas remplir un pichet. | Planche 15 Case 7 |
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Daisy perdant une plume. | Planche 16 Case 3 |
Publications françaises[]
Cette histoire a été publiée neuf fois en France, dans :
- Le Journal de Mickey n°2190, le 8 juin 1994 ;
- Picsou Magazine n°329, le 2 juin 1999 ;
- Picsou Magazine n°389, le 3 juin 2004 ;
- Les Trésors de Picsou n°4, en juillet 2007 ;
- Les Trésors de Picsou n°14, en avril 2011 ;
- Les Trésors de Donald n°2, le 6 juin 2014 ;
- La Grande épopée de Picsou n°5, le 14 janvier 2015 ;
- Les Trésors de Picsou n°49, le 19 décembre 2019 ;
- Super Donald Géant n°3.
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1re parution : juin 1994 |