Picsou Wiki
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Un métro de trop ! est une histoire longue en bande dessinée de vingt-quatre planches dessinée par Silvia Ziche et scénarisée par Stefano Ambrosio, publiée pour la première fois en Italie le 11 novembre 2003. Elle met en scène Donald Duck et son alter-ego Fantomiald, Daisy Duck, les Rapetou ainsi que le maire de Donaldville. L'action se déroule à Donaldville.

Synopsis[]

Alors que Donaldville fait construire une ligne de métro sous la ville, Donald Duck fait tout pour que le tracé du chantier ne passe pas sous sa maison et dévoile ainsi sa double identité.

Résumé complet[]

Fantomiald 2
Attention. Le texte qui suit dévoile certains moments-clés de l’intrigue du récit.


À Donaldville, les habitants s'enthousiasment pour les travaux du métro. Daisy fait partie des habitants ayant hâte de pouvoir l'utiliser, tout comme Donald qui est heureux que les embouteillages diminuent enfin. De plus, la cane lui fait remarquer qu'une station de métro sera à seulement quelques pas de chez lui. C'est à ce moment que Donald prend conscience de la situation et qu'il part chez lui, laissant sa dulcinée dans l'incompréhension.

De retour chez lui, Donald est obligé d'admettre que la construction du métro dans son quartier est une véritable catastrophe. En effet, cela veut dire que les ouvriers vont creuser sous la maison de Donald et découvrir sa base secrète de Fantomiald. Il doit agir et trouver une solution.

Ainsi, la nuit-même, Fantomiald rode dans les rues et arrive devant la villa de l'ingénieur en charge des travaux, Kool Kibetonn. Grâce à ses gadgets, il parvient facilement à entrer dans le bureau de l'ingénieur et à trouver les plans du métro. Ainsi, il dessinée un nouveau tracé du métro. Soudain, il entend un grognement derrière lui : c'est le chien de l'ingénieur qui aboie pour interpeller son maître. Fantomiald se hâte de s'enfuir, alors que Kibetonn arrive. Il voit au sol un os soporifique mais rit car son chien est, en fait, végétarien.

Quelques jours plus tard, Donald surveille de près les travaux et il est obligé de constater que le chantier n'a pas changé de direction. De plus, alors que Kibetonn est sur le chantier et discute avec plusieurs chefs de chantier, Donald découvre que l'ingénieur n'utilise plus du tout de carte en format papier mais en format numérique. Ce qu'il a fait chez l'ingénieur n'a servi à rien ! Cela le met alors fou de rage. Soudain, alors qu'il marche à côté d'une poubelle et qu'il aperçoit un journal, le canard a alors une idée.

Revenu chez lui, Donald cherche après une statue venant d'un voyage de Daisy. Il décide de la détruire, de la teindre en or et de la transformer en vestiges pour arrêter le chantier. Ainsi, le soir-même, Fantomiald est de retour sur le chantier et dispose les "vestiges", non sans avoir endormi les surveillants de nuit.

Le lendemain matin, Donald est de retour sur le chantier, grimé en ouvrier. L'un d'eux interpelle Kibetonn car il a trouvé les vestiges. Mais l'ingénieur regarde ces derniers de plus près et constate une étiquette avec inscrit "Made in Plasticville". Il comprend donc que ce sont de faux vestiges et fait reprendre le chantier, provoquant une fois de plus la colère de Donald.

Ce dernier est d'ailleurs à bout de ses idées pour arrêter le chantier. Il entend même, de chez lui, les engins. Mais voilà qu'il trouve une nouvelle idée. En utilisant un gadget créé par Géo Trouvetou, le gommix, il peut transformer n'importe quel objet en métal en quelque chose de mou et élastique. Ainsi, s'il projette cela sur les foreuses, ces dernières ne pourraient terminer le travail. Il comprend que c'est une solution temporaire mais décide quand même d'agir et endosse son costume de Fantomiald pour retourner sur le chantier, la nuit-même.

Là-bas, après avoir de nouveau endormi les gardiens de nuit, il entre dans le chantier et entend soudain des voix. Ce sont en réalité les Rapetou qui tentent de creuser pour atteindre le coffre de la banque de Donaldville. Cela donne une merveilleuse idée à Fantomiald et ce dernier décide de les laisser faire. Il attend alors quelques heures puis, après une longue attente, il entend les Rapetou parvenir à arriver jusqu'au coffre. Lorsque ces derniers s'enfuient avec d'énormes sacs contenant leur butin, le super-héros jette discrètement une balise sur eux.

Le lendemain matin, les clients de la banque hurlent leur mécontentement au maire, au directeur de la banque et à l'ingénieur Kibetonn. Heureusement, Fantomiald arrive, accompagné des Rapetou ligotés sur sa voiture et de leur butin. Il explique à la foule qu'il les a trouvé, par hasard, qu'il les a suivi et est parvenu à les arrêter. Mais le super-héros continue en disant que les attaques vont sûrement se multiplier car le métro passe trop près des sous-sols de la banque. Le maire remercie chaleureusement Fantomiald et lui promet de demander la déviation du trajet de métro. Kibetonn semble d'accord et part chercher les plans. Il demande même au super-héros de l'aider à redessiner le trajet du métro, chose que Fantomiald accepte, non sans lui dire qu'il l'avait déjà fait quelques jours auparavant.

En coulisses[]

Publications françaises[]

Cette histoire fut publiée à trois reprises en France, dans :

  • le Mickey Parade Géant n°279 d'avril 2004 ;
  • Mickey Parade Géant Hors-Série n°4 du 16 avril 2014 ;
  • Les Grandes Sagas Disney n°8 du 8 avril 2015.
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